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18 août 2012 6 18 /08 /août /2012 22:15

 

 

Un soldat de la Grande Guerre:

 

Louis Laumière

 

(1880-1946)

 

                    Jacques Pageix, 2014 (article en cours de rédaction)

Louis Laumière lors de son service en Corse de 1901 à 1904 au 13e bataillon d'artillerie.

Louis Laumière lors de son service en Corse de 1901 à 1904 au 13e bataillon d'artillerie.

Avant-propos

 

Je me fais un devoir d'évoquer dans ce blog la mémoire de Louis Laumière, le grand père de mon épouse, natif d'Onet-le-Château, proche de Rodez, en Aveyron: il nous laisse le souvenir d'une vie exemplaire, que je suis fier de présenter ici. Son esprit de sacrifice et son courage se manifestèrent dès son service militaire en Corse, accompli loin des siens, et s'affirmèrent à l'extrême lors de la Grande Guerre.

 

J'ai été particulièrement ému par deux attitudes de sa part: l'une reflète sa sensibilité lorsqu'il envoyait dès 1914 à son épouse Pauline des cartes postales où il avait planté des fleurs cueillies dans les tranchées de premières lignes. Elles sont restées intactes. L'autre est la fierté qu'il manifesta, lorsqu'il refusa de remplir le formulaire pour obtenir la Légion d'Honneur qu'on lui proposait en vertu de ses actes de courage; elle lui était due, puisqu'il avait été décoré de la Croix de Guerre au fameux Bois Leprêtre où, après avoir été lui-même blessé, il n'en continua pas moins à transporter des camarades "sous un violent bombardement par obus de gros calibres" comme le souligne sa citation.

 

La Naissance, la famille et la jeunesse

 

Antoine Louis Baptiste Laumière, communément appelé Louis, est né le 24 avril 1880 chez ses parents, à la Roquette, commune d'Onet-le-Château, près de Rodez, en Aveyron.

Son père est Julien Laumière, 50 ans, agriculteur à la Roquette.

Sa mère est Marie Rosalie Masson, 36 ans; Julien l'avait épousée en deuxième noce, en 1863, peu après le décès de sa première femme, Marie Julie Salès, décès survenu un an seulement après leur mariage contracté en 1860. 

La légende familiale rapporte qu'après ce premier mariage de raison, il revint à ses premières amours en épousant Marie Rosalie.

Entre-temps, en 1861, une fille de Marie Julie était née, avec un prénom curieux et pour le moins exotique: Palmire!... Le faible écart de temps (une vingtaine de jours) entre l'arrivée de l'enfant et le décès de sa mère nous permet de supposer que cette naissance fut fatale à Marie Julie. 

Le deuxième lit fut assurément plus prolifique, puisqu'il y eut sept enfants (quatre fils et trois filles) ; notre Louis Laumière était l'avant dernier.

 

La famille Laumière au complet, au tout début du XXème siècle.

Assis au premier rang :

 

Au centre, Julien Laumière et Rosalie Masson, les grands parents de Manotte, avec leurs sept enfants mariés ;

A gauche, le couple Auguste Laumière (l’aîné N°1, représentant les machines agricoles Massey-Harris) et Marie Duffieux, née Ortholès, sans enfants ;

A droite, le couple Henri Trémolière et Eulalie Laumière (N°2), 7 enfants : Henri, Angèle, Noëlie, Marius, Berthe, etc. ;

 

Debout au second rang, de gauche à droite:

 

Le couple Julien Laumière (N°3) et Marie Besnel, de Grousset, 2 enfants : Julien sans enfants, et Berthe, mariée à Falgayrat ;

Le couple Antoine-Louis Laumière (N°6) et Pauline Andrieu, les parents de Manotte;

Le couple Etienne Cayla (Maire-Adjoint de Rodez et Président du Tribunal de Commerce, parrain d’Etiennette), et Rose Laumière (N°4), sans enfants;

 

Au troisième rang, de gauche à droite :

 

Le couple Paul Palous (capitaine de gendarmerie) et Philomène Laumière (N°5), 2 enfants : Antoinette et Paul d’Albi;

Le couple Marius Laumière (N°7) et Philippine Ferrand, 2 enfants : Augusta mariée à Ricome et Pierre.

 

 

 

 

Dans un opuscule offert à Marguerite Calmès née Laumière, ma belle-mère, j'ai raconté l'histoire de sa famille et de ses ancêtres. Je ne m'étendrai donc pas ici à ce sujet, en me contentant d'un petit résumé:

Le nom de Laumière est très ancien: son origine se trouve dans un petit village appelé Laumière, situé près de Bozoul (connu par son fameux trou). J'ai pu montrer que cette localité était bien le berceau de cette famille dès le Moyen Âge et tout au long de la Renaissance,: on y trouve des Laumières prêtres, juges, notaires et, bien sûr, agriculteurs. Le plus ancien ancêtre que j'ai pu retrouver à Bozouls (qui s'appelait autrefois "Boazon") est Barthélémy Laumière, né vers 1645, qui épousa Anne Roumieu. Leur fils Raymond, né en 1669, eut pour parrain Raymond Roumieu de Cadayrac. C'est pourquoi le jeune Raymond s'installa et se maria le 12 juillet 1667 avec Catherine Burc à Cadayrac, pays miniers. Son épouse était fille de Jean, Tisserand, et de Jeanne Lapeyre. Les Laumière s'installèrent ensuite durablement à Onet-le-Château où ma belle-mère Marguerite Laumière vit le jour (voir généalogie simplifiée in fine). 

C'est à partir des archives publiques, des papiers de famille, et des récits recueillis auprès de Marguerite, de sa sœur aînée Étiennette et de leur frère Louis,  les trois enfants de Louis Laumière, que j'ai pu publier cette saga familiale... 

 

Je n'ai pu cerner en détails la prime jeunesse de Louis, toutefois, Marguerite se souvient qu'il allait à pied de la Roquette à l'école Victor-Hugo à Rodez, emportant son repas de midi qu'il faisait réchauffer à l'école.

Les documents militaires conservés indique qu'il possédait une bonne instruction générale. Son écriture est fine et soignée. Doué pour les activités physiques, il se classa dans les meilleurs en ce domaine. Il pratiquait la boxe et la lutte. En revanche, il ne savait pas nager!

       

Le service militaire en Corse

 

Jeune appelé de la classe 1900, Louis fut affecté au Groupe de batteries détachées en Corse en septembre 1901;

Son instruction militaire, commencée le 20 novembre 1901, se termina le 4 juillet suivant.

Il excellait aux exercices de tir (il sera chasseur toute sa vie) et obtint de bon classements. 

Il accomplit donc la totalité de son service militaire sur l'île de beauté, successivement à Ajaccio, Bonifacio, puis Aspretto, au 13e bataillon d'artillerie jusqu'en  septembre 1904. 

Ses qualités de "débrouillardise" furent aussitôt appréciées pas ses chefs, comme le montre les certificats de bonne conduite qu'il obtint. Son capitaine le prit avec lui comme ordonnance. Il s'agissait du capitaine Catala, qui commandait la 1ère batterie du 1er bataillon d'Artillerie à Pied.

Il certifia que "le canonnier Laumière Louis qui a été son ordonnance pendant deux ans a été toujours un homme dévoué et qu'il n'a que de bons renseignements à donner sur son compte. Il soigne très bien les chevaux, est très propre de sa personne et très adroit. Il est d'une probité à toute épreuve". Ce certificat lui fut délivré à Bonifacio en fin de service, le 29 août 1904; c'était l'usage, et cela permettait au militaire libéré de revenir à la vie civile avec un bon viatique, en vue d'un futur emploi.

Il fut même cité à l'ordre du groupe: 

"Extrait de l'ordre du groupe N°47:

"Le chef d'escadron Commandant le groupe des batteries détachées en Corse, cite à l'ordre du groupe les Sous-officier, Brigadiers et Canonniers qui quittent le corps sans avoir subi de punitions et ont donné le meilleur exemple à tous points de vue pendant leur séjour sous les drapeaux.

"Le deuxième canonnier servant Laumière a mérité de figurer à l'ordre du groupe.

"Bastia, le (...) septembre 1904. 

 

"Le Chef d'Escadron Commandant supérieur des batteries détachées en corse.                         Nivelle"

         

(Hé oui, il s'agit bien de celui qui devint le peu fameux Général Nivelle qui lança sans aucun discernement ces offensives si meurtrières au cours de la Grande Guerre...)

 

Louis était alors dans la musique du bataillon. On a conservé son cahier de chants illustré qui, s'agissant de la Corse, contient naturellement la fameuse "boudeuse" ( "Donne-moi ta lèvre; ta lèvre rose / Qu'amoureusement la mienne s'y pose, / Et qu'étroitement tous deux enlacés / Nos querelles soient querelles de baisers")

Nonobstant ces distractions, Louis comptait manifestement les jours...

...Car le cahier se termine par ces mots:

"Ce cahier a été fait (terminé) le 2 novembre 1903 à Ajaccio sous les yeux de Bertrand mon copain à 8 heures 32 minutes du soir, en comptant 320 jours à faire à 4 heures de demain au soir, et après la fuite. L.Laumière"

Nota: Bertrand et lui resteront amis par la suite. Après son service, Bertrand entrera au service de la famille Deutsch de la Meurthe (*) comme chauffeur.

(*): Henry Deutsch de la Meurthe (1847-1924) était un industriel et mécène qui soutint les progrès de l'aviation au début du XX ème siècle. Il créa des prix et des coupes décernés aux meilleurs pilotes et constructeurs lors de meetings aériens.  

 

La citation à l'ordre du groupe...

La citation à l'ordre du groupe...

L'appréciation du Capitaine Catala...

L'appréciation du Capitaine Catala...

...et le certificat de bonne conduite.

...et le certificat de bonne conduite.

Le cahier de chants de Louis en Corse.

Le cahier de chants de Louis en Corse.

"Ce cahier a été fait etc."

"Ce cahier a été fait etc."

 

Les débuts de la vie civile, le mariage, l'activité dans l'hôtellerie

 

Rendu à la vie civile en 1904, Louis trouva du travail aux "Quatre Saisons", chez les Andrieu qui tenaient là un hôtel restaurant et qui louaient des voitures. Cet établissement, bien placé aux portes de la ville de Rodez, accueillait une clientèle de passage, nombreuse et variée. D'après Étiennette, "Louis faisait cocher parce qu'il était bel homme"; on faisait beaucoup de noces et Louis promenait les convives dans des voitures attelées que l'on décorait avec des rubans. Il photographiait les clients et leur remettait des clichés-souvenirs. 

 

Il avait très tôt remarqué une jeune fille qui travaillait dans cet établissement: la nièce du patron, Pauline Andrieu.

Rosalie Pauline Andrieu, fille de Louis Andrieu et de Marie Laur, était née le 4 novembre 1882 à Moyrazès.

Le mariage eut lieu aux Quatre-Saisons le 9 août 1905. Peu de temps après, ils achetèrent le "Café des Arts" au Faubourg de Rodez, grâce à l'aide d'un oncle, Auguste, frère de Julien Laumière (voir photo de famille). 

À force de travail, ils purent rembourser l'oncle, puis ouvrir un hôtel aux Quatre-Saisons.

Vint le départ de Louis à la guerre: pendant toute son absence, l'hôtel fut tenu par Pauline, ses parents, la tante Rose, l'oncle Étienne et les employés.

L'alternance entre vie civile et vie militaire était de rigueur pour la plupart des jeunes gens de cette époque; des périodes d'exercices étaient destinées à maintenir un bon niveau d'entraînement chez ces soldats qui allaient affronter les dures épreuves de la guerre. Ainsi, Louis accomplit une première période au 13e bataillon d'artillerie à pied, 4e batterie, du 8 avril au 5 mai 1907, puis dans le 7e régiment d'artillerie à pied , 4e batterie, du 24 mai au 9 juin 1910.

 

 

Louis et Pauline.

Louis et Pauline.

 

 

La Guerre

 

Le jour de la mobilisation générale, Louis fut affecté au 3e Régiment d'artillerie coloniale. 

 

 

Le fascicule de mobilisation de Louis Laumière:

"Ordre pour le cas de la mobilisation. En cas de mobilisation portée à la connaissance des populations par voie d'affiche ou de publication sur la voie publique, le porteur du présent fascicule restera provisoirement dans ses foyers et ne se mettra en route qu'après réception d'un ordre d'appel lui indiquant le corps du service à rejoindre, le lieu de convocation, les jours et heures de présentation.

"À Rodez, le 8 sep 1907, signé le Commandant du Bureau de Recrutement"

 

Pour le suivre dans ses différentes affectations miliaires, on peut consulter son livret militaire et les cartes qu'il envoya à son épouse. J'ai pu obtenir une copie de sa fiche matricule auprès des services d'archives de l'Aveyron:

  

Fiche matricule de louis Laumière, communiquée par les archives départementales de l'Aveyron.

Fiche matricule de louis Laumière, communiquée par les archives départementales de l'Aveyron.

Voici la transcription du début de sa fiche matricule:

"né le 23 Avril 1880 à Onet le Chateau canton de Rodez département de l'Aveyron, profession "cocher" (mot rayé et remplacé par "industriel"), fils de julien et de Masson Rosalie, domiciliés à Onet le Chateau.

"N° 12 du tirage dans le canton; déclaré bon; N° matricule de recrutement: 608.

"Signalement: cheveux et sourcils châtains foncés; yeux châtains; front ordinaire; nez moyen; bouche moyenne; menton rond; visage ovale; taille: 1m.76; degré d'instruction: 3". 

Trois des nombreuses cartes postales militaires envoyée par Louis à son épouse Pauline (les 26 juin, 8 juillet et 12 juillet) .

Trois des nombreuses cartes postales militaires envoyée par Louis à son épouse Pauline (les 26 juin, 8 juillet et 12 juillet) .

L'une d'elles porte un poème de la main de Louis.

L'une d'elles porte un poème de la main de Louis.

"Laumière Louis", canonnier à la 44e Batterie d'Artillerie Coloniale", près de Toul, écrit à Pauline:

"Chère Pauline, tu diras vraiment que je deviens gosse mais étant de garde, ne sachant comment passer le temps, je me suis livré à te faire un bouquet. Toujours bonne santé. Reçois mille baisers, sans oublier nos poupards, sincères amitiés à nos Parents. Ton Louis qui ne t'oublie pas et pense toujours à Toi. L Laumière"

On notera que ces bouquets de petites fleurs, cueillies par Louis sur les remblais des tranchées il y a juste un siècle, sont admirablement conservées...

Sur la carte du 8 juillet 1915, Louis a écrit ce quatrain:

 

"Nous voici au pays des nuits

"Le canon seul a le droit de parler

"Et d'envoyer de la mitraille

"Pour crever aux boches les entrailles"...

 

SUITE DE LA GUERRE: les tranchées souvent en première ligne, l'artillerie de tranchée (les "crapouillots"), le transport des blessés sous la mitraille et les obus, comme au Bois Leprêtre, les blessures et les séjours dans les hôpitaux à l'arrière. La croix de guerre. Son refus de la légion d'honneur...

 

 

Le retour à la vie civile

 

A COMPLETER GRACE AU RECIT DE TATA ALBERT:

 

(Sans reprendre la totalité de l'ouvrage déjà réalisé) 

Les différentes activités menées le plus souvent de front par Louis Laumière:

L'hôtellerie bien sûr, l'industriel (la briquetterie qui fut incendiée), l'entreprise de rouleaux pour goudronner les routes (photos...Sans oublier la construction d'une maison, la chasse, etc

La 2e Guerre mondiale, la fin de vie.

La fin de vie

 

 

Origine et généalogie des Laumière

                                                                                                                                                          Comme je l'ai dit plus haut, mes recherches m'ont permis de fixer avec certitude le berceau des Laumière à Bozouls, cette petite cité perché sur le bord de la rivière du Dourdon, qui creusa à cet endroit un véritable canyon dans la roche calcaire, formant un méandre dont les flans resserrés sont impressionnants: ce fameux "Trou de Bozouls".

Au sud de Bozouls, qui s'appela jusqu'au XVIIe siècle "Boazon", se trouve justement le village éponyme de Laumière...

On trouve à Bozouls et dans les villages proches des Laumière jusqu'au XVIe siècle et probablement jusqu'au Moyen Âge:

Il en est fait mention dans les plus vieilles minutes notariales, qui remontent à 1545 où figure la signature de ce Messire Louys Laulmieyre, prêtre (hé oui, c'est ainsi qu'il s'écrivait: pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué!), ou bien de ce Procureur, Jehan Laulmieyre. On y trouve aussi un Jehan Laulmieyre dans un acte du 14 avril 1586 qui invoque dans son préambule "Henry, par la grâce de Dieu Roy de France et de Polongne"...

Acte de baptême de Raymond Laumière 10 octobre 1669.

Acte de baptême de Raymond Laumière 10 octobre 1669.

8"32 Raymond Laumiere

"Raymond Laumiere filz a Barthlemy Laumiere Et Anne Roumieu mariez habitanz du villa(ge) de Sentelz parroisse de Boazon a Este baptise le dixiesme octobre 1669 nasquist le sisiesme du d(it) moyes et A Esteperrin Raymond Roumieu du lieu de Cadayrac  et parroisse merrinne Marie Guisarde du d(it) villa(ge) de Sentelz Et parroisse de Boazon" 

 

Voici donc l'arbre généalogique dAntoine Laumière:

 

Barthélémy Laumière ép. Anne Roumieu (de Cadayrac) le 12 juillet 1667

(naissance à Bozoul vers 1645-)

                    I

Raymond Laumière ép. Catherine Burc de Cadayrac) (fille de Jean, tisserand, et de Jeanne Lapeyre)  le 21 juin 1701

(naissance à Bozouls 1669-décès avant 1726)

                    I

Jean François Laumière ép. Catherine Bories (de La Roquette) (fille de Jean et de Delphine Bec) le 26 août 1726 

(naissance à Cadayrac vers 1701-décès 1768)

                    I

Jean François Laumière ép. Jeanne Pouget (fille de Joseph et de Marie Latieulle) le 2 juillet 1767

(naissance à La Roquette 1734-décès après 1785)

                     I

Jean-Pierre Laumière

(naissance à La  Roquette 1770 décès 1849)

ép. 

1) 1795: Marie Jeanne Besombes

2) 1828: Marie Julie Agrifoul d'où

                     I

Julien Louis Laumière

(naissance à La Roquette 1829 décèe 1919)

ép.

1) 1860: Marie Julie Salès (fille de François et de Marie Jeanne Pouget)

d'où une fille Palmire née en 1844;

2) 1863: Marie Rosalie Masson (fille de François et de Rose Raynal)

d'où sept enfants:

Auguste, Eulalie, Rose, Julien, Philomène, Antoine Louis (qui suit) et Marius.

                     I

Antoine Louis Baptiste Laumière

(naissance à La Roquette 1880, décès à Rodez 1946)

                      I

Trois enfants:

1-Étiennette Rose Louisa Laumière (1909-2002) ép. Albert Calmels d'où une fille Colette (né 1936) ép. Jubelin;

2-Louis (1912-20??) ép Joséphine (Josette) Fabre, deux enfants: Jean-Claude (1939) et Bernard (1947);

3-Marguerite Paule Antoinette Laumière (née en 1920) ép. Jean Calmès, deux enfants: Jean Louis (1947) et Élisabeth (1950).

 

Jacques Pageix 2012

 

 

 

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commentaires

F
Bonjour<br /> Bravo pour ce document que je viens de lire grace à Marie Pierre Besson. Nous avons un ancêtre commun avec votre épouse, je descends egalement de Julien Louis Laumière par leur fille Eulalie et je dispose de quelques photos que je suis prêt à échanger avec vous.<br /> Quand vous citez Etiennette est ce bien celle qui tenait une quincailleie avec une pompe à essence en bas de la rue Beteille et avant le bd St Cyrice à Rodez ? Enfant ma grand mère m’emmenait la voir tous les samedis jours de marché quand j’etais en vacances. J avais toujours droit à une sucrerie et je garde un souvenir du long couloir de la quincaillerie comme d’une grotte d’Ali Baba. Quelquefois nous montions à l appartement au dessus.<br /> J aurai plaisir à vous lire<br /> Bien cordialement<br /> Jean-Pierre Féral
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A
Je viens de lire votre passionnant article concernant Antoine Louis Baptiste LAUMIERE. Nous avons un point commun avec votre épouse.<br /> Je suis moi même l'arrière arrière petite fille de Marie Julie LAUMIERE fille de LAUMIERE Jean Pierre et Marie Julie GRIFFOUL et soeur de Julien Louis LAUMIERE.<br /> Je suis passionnée de généalogie et à la recherche de tous documents , photos ou anecdotes concernant mes ancètres. J'ai d'ailleurs une photo du couple LAUMIERE Julien X MASSON Marie Julie. <br /> J'aimerais pouvoir échanger avec vous si vous êtes d'accord.<br /> <br /> Cordialement.<br /> <br /> Marie Pierre BESSON (ALAUZET) mpbesson01@gmail.com
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